Uncaged man 22

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Uncaged man 22Uncaged man 22Les quinze jours qui suivirent ce départ imprévisible furent cauchemardesques.Je laissai messages sur messages sur le portable de Clélia, toujours sur répondeur.J’harcelai Sylvain qui me répondait sans cesse qu’il n’avait pas plus de nouvelles que moi, j’interrogeai Véro qui me dit qu’elle ignorait ce qu’il se passait.Je perdis le sommeil et faillis perdre la tête.Quand je me retournai sur ma vie que pouvais je voir ?Un homme qui a aimé sa femme pendant 20 ans, qui a été trahi, humilié. Un gars qui pensait avoir retrouvé l’amour mais qui a perdu sa virilité en même temps que sa compagne .Au bout d’un mois, toujours sans nouvelles, ce fut un zombie qui s’installa devant une bouteille de scotch et une boîte de médocs.Je ne dus mon salut qu’à l’arrivée impromptue de Bruno, qui prenait tous les jours de mes nouvelles et qui était devenu mon ami.D’un seul coup d’oeil il comprit la situation, jeta les comprimés dans les toilettes et remplit les verres.Il me raconta sa vie, son histoire, comment il était tombé sous la coupe d’un Maître, comment il avait été prostitué, comment sa femme l’avait quitté pour le même dominateur qui avait perverti sa fille également.Il me confia sa passion pour Véro, la soeur de son ex femme, leurs aventures , leurs délires partagés.Il me fit comprendre que ma vie n’était pas finie et que même si Clélia m’avait quitté, il me restait des choses exaltantes à vivre.Au petit matin, quand nous émergeâmes du brouillard éthylique, ma décision était prise.En deux semaines, je liquidais tout, vendis maison , affaires, voiture, laissant à mon avocat d’ami le soin de régler le tout.Dans la poubelle de Roissy, je jetai mon téléphone et pris un aller simple pour une Saint Domingue.Personne , pas même Bruno,ne sut où je fuyais.A cette époque Punta Cana existait déjà, mais , dans le nord de l’île de vastes étendues côtières, peu propices au tourisme de masse , restaient inhabitées, ou presque.J’avais eu l’occasion de visiter ces zones faites de criques sublimes entourées de rochers, couvertes d’une foret encore vierge. L’endroit était sauvage, authentique.En quelques semaines, je négociai avec le gouvernement Dominicain, l’achat d’un terrain constitué de 10 kilomètres de cote sur une largeur de 5 mille mètres.Puis, je fis bâtir, en bordure d’une plage de sable doré, au creux d’une baie protégée, une bicoque, simple mais confortable tout de même.L’état de mes finances me permit tout juste alors d’y vivre chichement , cultivant mon potager, pêchant mon poisson , élevant mes chèvres et mes cochons pendant quelques mois.Cheveux güvenilir bahis longs, barbe hirsute, corps bronzé quasi dénudé, je retrouvai peu à peu mon équilibre dans cette vie spartiate.J’eus quelque fois la visite de villageois curieux.Mon espagnol, quoiqu’il fut un peu rouillé au début , me permit tout de même , un dialogue amical et ouvrit la porte a des relations de bon voisinage.Une jolie jeune fille vint en particulier me voir plus souvent que nécessaire.Un jour, elle me trouva, me baignant nu.Elle s’assit sur la plage, tout à coté de ma serviette, me regardant en souriant, l’air moqueur.Je ne sus pourquoi mais la vision de cette grâce naturelle à la peau ambrée et au sourire enjôleur découvrant des dents d’une blancheur immaculée me fit arriver une érection oubliée depuis trop longtemps.Ne sachant si mon état allait la choquer, il fallut que je me décide à sortir de l’eau.Essayant de paraître le plus décontracté possible, lui souriant à mon tour, je fis quelques parts vers elle, mon sexe pointant droit devant moi.La belle ne parût pas froissée, bien au contraire.Je m’assis à ses côtés et c’est elle qui prit toutes les initiatives.Elle se débarrassa de sa robe blanche et je me retrouvai vite goutant son intimité pourvu de sa pilosité.C’est elle qui grimpa sur moi, imprimant le rythme qui convint à l’atteinte de son plaisir.Je pus ainsi la contempler, me saouler les yeux de son visage de madone, de ses seins menus mais adorables.La belle atteignit son plaisir les yeux fermés , la bouche ouverte laissant passer un ” Dios mio ” qui me fit sourire. Je l’accompagnai alors dans sa jouissance après m’être retiré.Elle ouvrit ses yeux noirs et partit en courant dans la mer . Je ne pu me lasser de la regarder, Vénus latine, batifoler dans les vagues, heureuse apparemment.Elle me quitta ce jour la en m’embrassant langoureusement.Elle revint de temps en temps, et , à chacune de ses visites, nous refîmes l’amour, sans paroles inutiles , juste deux êtres qui savouraient les moments qu’ils passaient ensemble.Elle pensait que prendre mon sexe en bouche était sale, je lui appris à apprécier la fellation. Elle finit par tellement aimer ça que , parfois, je la faisais jouir avec ma langue et elle me remerciait avec sa bouche. La seule chose qu’il me fut impossible de lui faire fut de la prendre par son petit trou.De temps à autre , des yachts venaient faire escale dans ma crique privée. Habituellement je prenais bien garde d’éviter de rencontrer leurs passagers mais, un jour, je trouvai un couple bronzant sur ma plage.Je m’approchai.La femme türkçe bahis bronzait nue , à ses cotés, son mari plus âgé , vêtu d’un ridicule bermuda , téléphonait.L’homme me fit un signe amical , son épouse releva la tête et me sourit.Tom avait la soixantaine, presque chauve, la bedaine proéminente, il avait fait fortune dans l’élevage du bétail. Sa seconde femme, Betty , n’avait pas atteint la trentaine. C’était une Texane, elle aussi, le parfait archétype de l’américaine telle que l’on se l’imagine. Grande, blonde, les yeux bleus, la parfaite dentition blanche, la poitrine volumineuse. Bien en chair , sans être grasse, elle respirait la joie de vivre.Ils avaient fait escale dans la crique qu’ils croyaient inhabitée pour se reposer un peu de leurs derniers jours de mer qui avaient été agités.Ils se confondirent en excuses lorsqu’ils surent que c’était un lieu privé. Je les rassurai.Ils m’invitèrent à souper pour se faire pardonner. Le skipper et sa femme ,qui faisait office de cuisinière et de bonne à tout faire, étaient leur seul équipage.Quand j’arrivai à bord, les bras chargés de fruits frais, ils m’attendaient en haut de l’échelle.Betty, simplement vêtue d’un short et nue sous un chemisier presque transparent s’était maquillée légèrement et n’en était que plus séduisante. Tom, un cubain au bord des lèvres , m’aida à monter mon panier.Le repas ,accompagné de bons crus bordelais, fut délicieux, je félicitai leur cuisinière lorsqu’elle se retira à la fin de son service.Ils voulurent en savoir plus sur moi, je leur racontai simplement que j’avais tout vendu pour vivre ici.En un raccourci comme seuls peuvent en faire les américains, Tom baptisa l’endroit d’un ” frenchie ´s beach ” , ponctué d’une grande claque dans le dos.Betty me demanda soudain si elle me plaisait.Interloqué, un brin gêné par cette question abrupte, je lui répondis qu’elle était une très belle femme.Tom, hilare, me demanda si je voulais faire l’amour à son épouse.Je le regardai avec de grands yeux ébahis.Il m’expliqua qu’à la suite d’une opération, il était devenu impuissant mais qu’il adorait voir Betty dans les bras d’autres hommes qu’elle choisissait, qu’elle était jeune et qu’elle avait de gros besoins sexuels.Je fus flatté, bien sur, mais aussi un peu mal à l’aise devant cette proposition.Elle se leva et vint vers moi tout en déboutonnant sa blouse , souriante, ses seins opulents me narguant , elle pris ma main et m’entraîna sur les matelas du pont.Je me fis un devoir de lui prouver que la réputation des french lovers n’était pas usurpée.Nus, enlacés, épiés par Tom qui güvenilir bahis siteleri tirait encore sur son barreau de chaise, nous nous caressâmes langoureusement en forme de préliminaires.Ma bouche délaissa la sienne pour faire connaissance de ses tétons, attention qu’elle apprécia en manifestant son contentement en gémissements étouffés.Avec douceur , je la plaçai à plat ventre et mes effleurements de la nuque, des épaules lui donnèrent la chair de poule malgré la douceur de la nuit.Je descendis le long de sa colonne pour m’attarder au creux de ses reins. Ses fesses subirent les mêmes douceurs et ce fut avec délectation que j’ écartai ses lobes pour que ma langue titille son orifice.La belle se tortilla de plaisir, j’en profitai pour y glisser un doigt inquisiteur qui ne rencontra pas de résistance. Puis, la faisant se retourner, je trouvai sa fente d’où exhalait une odeur enivrante.Mes lèvres furent sur les siennes, ma langue trouva son bouton qu’elle excita de telle manière que Betty eut , à ce moment là , son premier orgasmes.Son corps se tendit, ses mains écartèrent ma tête.La laissant se remettre, je caressai l’intérieur de ses cuisses jusqu’à qu’elle décide à me gouter.Elle fit ça de manière convaincante tant et si bien que ma verge ne tarda pas à manifester ses premiers signes de bonheur. Elle aima mon premier émoi, déroula le plastique et , s’enfonça.Elle se frotta sur mon pubis tandis que mes mains , posées sur ses hanches, aidaient le mouvement.Tom vint nous rejoindre et , debout derrière elle, s’empara de ses seins qu’il pétrit, pinça enfin durement les pointes de ses seins amenant sa jouissance, suivie de la mienne.Secouée de violents spasmes de plaisirs, elle s’effondra sur mon torse et je l’entourai de mes bras, embrassant son cou, la laissant redescendre sur terre.Quand il fut temps de partir, beaucoup plus tard dans la nuit , Tom me serra la main chaleureusement et Betty , toujours nue, se colla à moi et me murmura un ” merci ” en français dont je me souviens encore.Le lendemain matin, la crique était déserte et je trouvai dans le panier qui avait servi pour leur apporter les fruits, une poignée de billets de 100 dollars.Ils me servirent à réparer l’éolienne qui avait souffert du dernier ouragan.Mes maigres réserves d’argent s’épuisèrent vite. Heureusement , de plus en plus de bateaux firent halte dans mon havre. Je me précipitai vers eux leur proposant fruits, eau fraîche contre quelques monnaie.J’eus quelques aventures excitantes avec des voyageuses seules ou même accompagnées.Quelques jours avant le premier anniversaire de mon implantation , un superbe catamaran fit ancre chez moi. Il battait pavillon américain. Je vins à sa rencontre et comme je m’approchai, une passagère , tendant un guide de voyage, me demanda , si elle était bien à ” la plage du français “

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